le budget participatif de la ville de Tours. l'argent du contribuable coule à flot, pour satisfaire des projets qui ne méritent pas budget aussi important. les politiques arrosent avec de l'argent qui ne sort pas de leurs poches, 500 000€ et la ville est déjà endettée. Les impôts augmentent, la taxe foncière +11,6% en 2022 avec les + 3,4% du national ,cela fait + 15% pour Tours.
la cerise sur le gâteau, la ville de Tours envisage de mettre hors circuit l'éclairage public ,entre 1 h et 5 h du matin, dans certaines zones de la ville de Tours, pour un objectif de réduction des dépenses de 500 000 €. On marche sur la tête, d'un côté on arrose avec de l'argent public, 500 000€ de budget participatif, et de l'autre on coupe le compteur électrique !
les budgets participatifs sont à la mode, ils fleurissent un peu partout, quand l'argent ne sort pas de votre poche, mais de celle de votre voisin, on fait n'importe quoi. Veulent ils acheter un électorat ou la paix sociale ! le social c'est déjà en France 800 milliards dans le budget du pays.
Ces politiques de gauche, qui disent, il faut faire payer les riches*, quand les riches partiront*, il ne restera plus que des pauvres. Heureusement qu'il y a des riches, pour payer les politiques ! A peine la moitié de la population Française paie l'impôt sur les revenus. Je connais des riches qui paient beaucoup d'impôts, le problème le gaspillage, l'utilisation de l'argent du contribuable, pour payer les partis politiques, les migrants, l'AME et autres et les 800 milliards d'aide sociale.
L’assistanat est un gouffre financier. Aider certaines personnes dans
le besoin, après vérification des dossiers, pas de problème, faut-il déjà que
les contrôles à la fraude soient efficaces.
Je ne sais pas, qui a pris la décision de planter des chênes en haut de la rue nationale à Tours, c'est une aberration écologique. Tout cela est une méconnaissance de la nature, et des chênes, dans quelques années, ils seront énormes. On ne plante pas des chênes sur du béton , en ville, avec du goudron autour. Bonjour le tram et les commerces.
Avec les écologistes qui sont des écologistes bobos des villes, ou des rapports, qui ne connaissent rien à la vraie nature. Beaucoup d'arbres sont plantés trop près des habitations, des bâtiments. La lumière ne pénètre plus chez les habitants, les allergies augmentent, par la méconnaissance de certains jardiniers ,et des politiques écolos, quelle ignorance de la nature. Un vrai professionnel qui connait vraiment le métier aurait du refuser de planter ces arbres en ville.
Plus le temps passe, avec les mesures pour l'environnement, pour lutter contre le réchauffement climatique, moins de gaz à effet de serre, plus les contraintes, restrictions, interdictions se font jour, on va vers une écologie de plus en plus punitive, et nos libertés en seront impactées. l'avenir nous réserve bien des surprises, après le tout énergie fossile, vient le temps du tout électrique. , arrivera le temps du rejet du tout électrique.
Un retour à un meilleur équilibre des énergies, un peu de fossile , de l'électrique et autres. vouloir interdire tous les véhicules à essence, se révélera plus difficile, une partie de la population européenne se dressera contre ces interdictions, qui se révéleront inadaptées à la vie des gens.
Imaginons des dizaines de millions de véhicules électriques en circulation, aucun réseau ne pourra subvenir aux besoins pour recharger tous les véhicules. les villes, ne sont pas adaptées au tout voiture électrique, les infrastructures et la conception des villes, ne répondent pas à ce besoin. Actuellement on lave le cerveau des gens avec le climat, les infos deviennent anxiogènes pour une partie de la population, matraquage sur tous les médias... Une écologie constructive, positive, de progrès, qui investie pour la qualité de la vie, et le bien être des gens, sans restrictions de nos libertés et du progrès scientifique, est-ce possible. Il faut sortir l'écologie de toutes les idéologies militantes, et des idéaux politiques, qui ne servent que des intérêts partisans.
Un autre regard sur le monde