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vendredi 6 mars 2020

Lutte contre l'homophobie : la "ruralité positive" s'affiche dans le Loiret Depuis le 1er mars, l'association SOS Homophobie, en partenariat avec la délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l'antisémitisme et la haine anti-LGBT (Dilcrah), a lancé une campagne d'affichage sur le thème de la "ruralité positive". Lancée au début du mois de février dans l’Indre, cette initiative dépasse peu à peu les frontières départementales pour venir questionner les Loirétains sur le volet de l’orientation sexuelle, et ce, de manière positive.


Lutte contre l'homophobie : la "ruralité positive" s'affiche dans le Loiret
"On s’adresse à tous les publics, tout en essayant de donner une autre image des personnes LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels, trans). Dans les ruralités, les personnes sont souvent isolées, sans trop d’informations", estime Georges Ratineau, le co-­délégué territorial pour SOS Homophobie en région Centre-­Val de Loire.
Attirer l'œil

Les quelque cinquante affiches seront placardées sur les bus circulant sur les routes loirétaines. Elles sont destinées à attirer l’œil et retenir l’attention durant un mois environ.
"J’aime la danse", "Je suis gaga de mon chat", "J’aime ma chérie". Telles sont les phrases apparaissant sur les affiches, suivies d’une interpellation pour le spectateur : "Et vous ?". Une campagne de sensibilisation appelée à prendre de l’ampleur.
 Source la république du centre Clément Baudouin

Une campagne contre l'homophobie sur les abris de bus du Cher La moitié des 90 faces publicitaire des abri de bus du Cher consacre la première quinzaine de mars à une campagne de communication initiée par l'association SOS Homophobie. Depuis lundi et pour quinze jours, la moitié des 90 des abri de bus du Cher disposent d’une affiche parmi les huit réalisées pour la campagne orchestrée par SOS homophobie. Elle vise à sensibiliser tout le monde sur la situation des personnes LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres) en milieu rural.



« Ce n’est pas simple d’être homo ou lesbienne en milieu rural. C’est pourquoi nous avons décidé cette campagne d’affichage avec un message qui se veut positif »
, explique Georges Ratineau, co-délégué territorial Centre-Val de Loire de SOS Homophobie, consultant sur Paris mais vivant à Tours.
Un message positif adressé à tout le monde
Débutée dans l’Indre, elle a lieu maintenant dans le Cher, l’Indre-et-Loire et le Loiret. Huit affiches ont été réalisées, les personnes photographiées, mannequins ou bénévoles de l’association, l’ont fait bénévolement.
La Délégation Interministérielle à la Lutte Contre le Racisme, l’Antisémitisme et la Haine anti-LGBT (DILCRAH) soutient financièrement l’opération. Le conseil départemental du Cher a consacré à l'opération la moitié des 90 faces d’abri de bus dont ils sont les propriétaires.
Sur les huit affiches, des hommes et des femmes de tous âges expriment leur différence. « C’est une campagne de sensibilisation positive que nous avons mise en place à force de recevoir des appels de la part de personnes LGBT en milieu rural et qui vivent une pression sourde, le poids du quand dira-t-on. Ce n’est pas la même chose en ville, quand on est noyé dans la masse », explique Georges Ratineau.
L’association de lutte contre la lesbophobie, la gayphobie, biphobie, la biphobie et la transphobie, crée en 1994, a réussi à fédérer autour de ce projet né en septembre dernier.
« C’est un message pour le grand public sur la réalité de l’isolement des LGBT ancré en milieu rural », indique co-délégué territorial Centre-Val de Loire de SOS Homophobie. 

 source article François Lesbre  Berry  républicain
Pratique. 

lundi 13 janvier 2020

Lenny et Thomas, l'histoire d'amour qui a ému le web Lenny a illuminé Twitter d’une lueur arc-en-ciel ce dimanche 8 décembre en révélant l’histoire d’amour qu’il partage avec son copain, Thomas. Un tweet qui a beaucoup tourné sur le réseau social. C’est l’histoire d’un message Instagram qui s’est transformé en amour fou. C’est ce qu’un jeune utilisateur de Twitter nous a fait découvrir dimanche 8 décembre, avec un tweet montrant quelques images de leurs échanges sur le réseau social suivi de photos les montrant côte à côte, heureux et amoureux.


lenny a 18 ans, son copain Thomas en a 20. Tous deux vivent en Suisse et sont mannequins. Il y a quelques mois, ce dernier remarque la story Instagram de Lenny et tombe sous le charme : « Tu as un de ces charmes, c’est vraiment fou« , complimente Thomas via le réseau de partage de photos. Contacté par TÊTU, Lenny n’était pourtant pas très réceptif au début : « C’est vrai que je ne m’y intéressais pas tellement car je ne consultais pas vraiment son profil« , raconte le jeune homme, « mais une fois que j’ai commencé à voir ses photos, je suis également tombé sous le charme« .

Néanmoins, même s’ils habitaient le même pays, les deux ne vivaient pas dans le même canton. Ainsi, ils ont longuement échangé via Instagram. « Puis un jour, on s’est vraiment fixé une date précise.On on s’est rencontré à Genève pour boire un café« . Lenny révèle que c’est à ce moment que l’amitié s’est muée en flirt. « On s’est revu deux jours après pour aller voir ‘Le Roi Lion’ et c’est pendant la chanson “L’amour brille sous les étoiles” qu’on s’est tenu la main pour la première fois« , révèle t-il. La relation s’est alors peu à peu installée et les deux se sont « revus et revus et revus… Je vis chez lui et lui chez moi« .