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mercredi 31 août 2022

certains hommes , ne changent pas de slip ou de caleçon tous les jours, se lavent partiellement ...

 


le dernier sondage IFOP, met en avant l'hygiène des français. des mecs ne changent pas de sous vêtements tous les jours , ne se lavent pas, il faut appeler Sarkozy et son karcher.

Comment des hommes ne changent pas de sous vêtements , de chaussettes tous les jours, cela  doit sentir  mauvais.  Faire l'amour avec ce genre  de personnes, cela doit être repoussant pour le ou la partenaire , sauf pour les crades qui sont encore légions. même sans une super salle de bains , on peut se laver tous les jours., Ne soyons par surpris , par la recrudescence de certaines maladies IST, MST et autres. N'oublions pas l'hygiène avant un rapport sexuel et après. 

Sur certains sites de rencontres des mecs cherchent des crades,..

un corps de mec qui sent  bon, cela est plus agréable et attirant.

Sentir la sueur après une journée de labeur cela est compréhensible , on se lave après .

by gr@37 un autre regard sur le monde

Les Français les plus propres sont ceux qui ont une vie sexuelle plus développée Selon un dernier sondage Ifop, les Français les plus hygiéniques sont souvent ceux qui ont un nombre important de rapports ou de partenaires sexuels. Et ils ne sont pas forcément les plus « sales » en Europe.

Faire l’amour rime souvent avec propreté. Selon une étude Ifop sur l’hygiène des Européens dévoilée ce mardi 30 août par Xlovecam, la pratique quotidienne de la douche chez les Français atteint ses taux les plus faibles chez les personnes vierges (49 %) ou chez ceux qui n’ont eu aucun rapport sexuel au cours des quatre dernières semaines (48%). Alors que la moyenne de notre pays est de 76%.

Cette étude menée aussi en Italie, Espagne, Allemagne et Royaume-Uni démontre aussi qu’en France, l’absence de changement quotidien de slip est plus fréquente chez les hommes inactifs sexuellement (30%) que chez ceux ayant plus de trois rapports par semaine (21%).

En clair, l’hygiène est fortement corrélée à l’activité sexuelle : « Être confronté au regard des autres et à une récurrence de contact physique et social va inciter à prendre beaucoup plus soin de son hygiène corporelle et vestimentaire. Surtout à cause de l’injonction à la propreté vis-à-vis de son partenaire. Mais la logique inverse n’est pas fausse : le fait de sentir moins bon ne va pas favoriser la séduction et les rapports sexuels », explique au HuffPost le directeur du pôle politique/actualités de l’Ifop, François Kraus.

Selon lui, il existe aussi un léger gender gap en matière d’hygiène sexuelle : « L’idée selon laquelle il faut avoir une hygiène intime ’irréprochable’ pour s’adonner ’sereinement’ à un rapport sexuel apparaît comme une injonction qui pèse plus sur la gent féminine mais qui ne lui est pas spécifique. » Les femmes sont en effet plus nombreuses que les hommes à aller aux toilettes après un rapport sexuel (59% contre 41%). De même que 38% des Françaises imposent systématiquement à leur partenaire le lavage de leur sexe avant une pratique bucco-génitale (contre 31% des hommes). Les autres données observées, comme se laver avant ou après le coït, ne présentent pas de différences significatives.

Les Français pas forcément les plus sales d’Europe

Cette étude permet aussi de savoir si les Français ont brisé le cliché selon lequel ils sont sales. En partie, oui. En Europe, les mauvais élèves sont les Italiens. Ils sont 53% à se laver corps et visage quotidiennement contre 76% dans l’Hexagone, encore derrière l’Espagne (82%) et l’Allemagne (77%) mais devant le Royaume-Uni (68%). En Italie, la toilette partielle semble plus répandue selon l’étude.

C’est en matière d’hygiène vestimentaire que le bât blesse. Les hommes français sont les moins nombreux à changer quotidiennement de caleçon (73%) sur les cinq pays étudiés, même s’ils ne sont pas si loin de la moyenne (76%).

Cela est dû au « nombre de seniors qui continuent à avoir des pratiques hygiéniques similaires à celles qu’ils ont connues à une époque - leur enfance - où le rythme de changement vestimentaire était moins soutenu qu’aujourd’hui », selon François Kraus. En revanche, 93% des femmes françaises changent quotidiennement de culotte.

Ce cliché du « français sale » est né en Europe au XVIIe siècle et diffusé durant l’après-guerre dans le monde entier par des productions culturelles américaines. Pourtant, si l’on en croit un ancien sondage Ifop de 1951, le mythe était bel et bien une réalité : seulement 52% des Françaises se lavaient corps et visage quotidiennement contre 80% aujourd’hui.

Le recul hygiénique observé pendant les confinements est aujourd’hui comblé. La proportion d’homme français à se laver quotidiennement était tombée à 61% en avril 2020. Mais elle a maintenant surpassé les 71% pré-confinement. Idem pour les femmes puisque cette proportion est revenue à 80% alors qu’elle était légèrement tombée à 74%.

En revanche, la pratique du no-bra - ne pas porter de soutiens-gorge - s’est démocratisée. La proportion de jeunes françaises (18-24 ans) qui n’en porte jamais s’élève à 13% contre 4% avant le confinement. Une pratique bien plus répandue chez les jeunes puisque seulement 6% des Françaises tout âge confondu ne portent jamais de soutiens-gorge aujourd’hui.

La France contraste avec les autres pays européens analysés puisque la moyenne chez les jeunes femmes est de 4%. « La tendance est portée par deux dynamiques déjà présentes en lingerie avant le Covid », d’après François Kraus : « Un néoféminisme promouvant la libération du corps de la femme et un body positivisme incitant à donner une prime au confort sont deux des mouvements très prégnants dans ces jeunes générations. » source article 

https://www.huffingtonpost.fr/life/article/les-francais-les-plus-propres-sont-ceux-qui-ont-une-vie-sexuelle-plus-developpee_207057.html?xtor=EPR-5689964-[daily]-20220830  

https://twitter.com/IfopOpinion/status/1564526545863147520?ref_src=twsrc%5Egoogle%7Ctwcamp%5Eserp%7Ctwgr%5Etweet

https://www.ifop.com/publication/les-francaises-sont-ils-vraiment-propres-evolution-des-comportements-dhygiene-des-francais-1951-2020/

 https://www.ifop.com/publication/barometre-hygiene-et-precarite-hygienique-en-france/

https://www.leparisien.fr/societe/sante/douche-sous-vetements-lhygiene-des-francais-et-de-leurs-voisins-europeens-passe-au-crible-30-08-2022-HP6U7PIHBNDFNOGBPJMJ3ORV6U.php 

vendredi 5 août 2022

Un ambassadeur LGBT+ au gouvernement, l’écran de fumée arc-en-ciel

Que dit la presse sur ce sujet : by Marlène Thomas libération

Au menu du jour à Orléans, un soupçon de poudre arc-en-ciel dans une assiette de déni. En déplacement dans le Loiret pour commémorer les 40 ans de la dépénalisation de l’homosexualité en France, la Première ministre a annoncé la nomination d’ici la fin de l’année d’un «ambassadeur aux droits LGBT +» auprès du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères. Une façon, promet-elle, de réagir aux menaces européennes et mondiales toujours plus fortes pesant sur ces droits. «Il défendra la dépénalisation universelle de l’homosexualité et de la transidentité», a-t-elle précisé. En d’autres termes, comment réinventer l’eau chaude en mettant au placard sur ces dossiers la ministre déléguée à l’Egalité entre les femmes et les hommes, à la Diversité et à l’Egalité des chances, Isabelle Rome (dont c’est justement le job n’oublions pas), pour servir une communication de crise. Une ministre, postée à son côté, chargée de «coordonner les actions menées contre les actes et agissements de haine et de discrimination envers les personnes lesbiennes, gays, bi et trans» et d’apporter «son concours» dans les négociations internationales du ministère chargé de l’Europe et des Affaires étrangères.

La manœuvre apparaît d’autant plus grossière au surlendemain de la mobilisation d’associations LGBT + réclamant la démission de quatre ministres du gouvernement aux CV constellés de sorties homophobes. Internet n’oublie rien. Christophe Béchu à la Transition écologique, connu pour avoir fait retirer de la ville d’Angers, dont il était maire, une campagne d’information sur le VIH où deux hommes s’embrassaient. Sébastien Lecornu, aux Armées, qui s’était notamment prononcé contre le mariage pour tous dans une interview, à l’instar de son collègue de l’Intérieur, Gérald Darmanin. Sans oublier Caroline Cayeux, à la Cohésion des territoires, dont les propos choquants sur le mariage pour tous, exhumés récemment, font une nouvelle fois tache pour l’exécutif. Une réforme qu’elle qualifiait de «caprice» pour un dessein «contre nature». Des propos qu’elle a maintenus sur Public Sénat avant de s’excuser dans un rétropédalage presque risible.

https://www.liberation.fr/societe/sexualite-et-genres/un-ambassadeur-lgbt-au-gouvernement-lecran-de-fumee-arc-en-ciel-20220804_LMT47ML7BNFIPPCFIKQK7NB5JE/

et les autres que disent-ils ?

https://www.lemonde.fr/societe/article/2022/08/04/elisabeth-borne-annonce-la-nomination-d-un-ambassadeur-aux-droits-lgbt_6137162_3224.html

https://www.20minutes.fr/societe/3333875-20220804-ambassadeur-droits-lgbt-nomme-avant-fin-annee-annone-elisabeth-borne

https://www.francetvinfo.fr/societe/lgbt/lutte-contre-l-homophobie-un-ambassadeur-aux-droits-lgbt-sera-nomme-avant-la-fin-de-l-annee-annonce-elisabeth-borne_5292874.html

https://www.lefigaro.fr/actualite-france/elisabeth-borne-annonce-la-creation-d-un-poste-d-ambassadeur-aux-droits-lgbt-20220804

jeudi 4 août 2022

40 ans après la dépénalisation de l'homosexualité, loi du 4 août 1982 l'arrivée de la gauche au pouvoir en 1981,. En 2022 40 ans après, la première ministre, Elisabeth Borne, annonce la création d'un poste d'ambassadeur pour les questions LGBTI+, et la transidentité.

Qui dit ambassadeur, dit représentation au-delà de nos frontières. Quelle personnalité pour ce poste, un/une hétéro,  un gay, une lesbienne, une personne trans, une personne Queer... Sera t'il ou sera t'elle, mettre son engagement au service de toutes les personnes LGBTI+ pour la défense des droits des personnes LGTI+, en France et en Europe. Attendons la suite, pour découvrir qui sera la personne nommée par le gouvernement.  by gr@37

 40 ANS APRÈS LA LOI DU 4 AOÛT 1982 : LA PERSISTANCE DES DISCRIMINATIONS ENVERS LES PERSONNES LGBTI

En août 1982, l’Etat français abrogeait les dispositions pénalisant les relations homosexuelles dans le code pénal. 40 ans plus tard, la Défenseure des droits s’inquiète de la persistance des discriminations envers les personnes LGBTI.

Dans les faits, les relations homosexuelles n’étaient déjà plus condamnées. Mais il subsistait dans le code pénal français des textes discriminatoires : la majorité sexuelle était notamment fixée à 18 ans pour les relations homosexuelles, contre 15 ans pour les hétérosexuelles.

Avec la loi du 4 août 1982, l’Etat français abrogeait ces dispositions.

40 ans plus tard, la loi et le droit sont progressivement devenus de plus en plus protecteurs envers les personnes LGBTI. Malgré cela, les discriminations dont elles sont victimes demeurent alarmantes.

Des discriminations toujours trop importantes

Malgré des avancées et l’évolution positive du droit pour lutter contre toute forme de discriminations, l’institution constate la persistance des discriminations envers les personnes LGBTI, en particulier dans le domaine de l’emploi et de l’accès aux biens et services.

Harcèlement discriminatoire dans l’emploi, refus de location de logement, défaut de prise en compte du mariage pour l’ouverture d’un compte joint… Telles sont les situations dont la Défenseure des droits est encore saisie en 2022.

Pour autant, le taux de non-recours reste très élevé : en 2021, seulement 2% des saisines en matière de discrimination invoquaient le critère de l’orientation sexuelle, tout comme celui de l’identité de genre. Pour lutter contre ce non-recours, il est essentiel de mieux informer les victimes de leurs droits, et sanctionner ces discriminations. Le recours au droit, qui reste indispensable, présente cependant des limites et ne peut être le seul levier pour lutter en faveur du respect des droits des personnes LGBTI.

De nouvelles mesures nécessaires pour garantir l’égalité

Le Défenseur des droits contribue à la lutte contre les discriminations à travers sa plateforme antidiscriminations.fr. Lancée le 12 février 2021, la plateforme est un dispositif de réponse dédié aux victimes et témoins de discriminations, qui comprend un numéro de téléphone, 3928, et un tchat en ligne. Ce dispositif reste cependant insuffisant pour lutter efficacement et pleinement pour le respect des droits des personnes LGBTI.

L’institution alerte depuis plusieurs années sur l’insuffisante mobilisation des pouvoirs publics et a publié de nombreuses propositions de réformes et recommandations afin de mieux prévenir et sanctionner les discriminations :

Mesurer les inégalités et les discriminations pour agir,

Créer un Observatoire des discriminations,

Assurer une sanction dissuasive des discriminations par les juges,

Assurer une réelle portée au dispositif d’action de groupe,

Assurer un engagement des organisations dans la prévention des discriminations,

Obtenir la sanction des discriminations par les organisations,

Assurer la transparence, la traçabilité et l’objectivation des procédures et décisions,

Éduquer contre les discriminations.

L’éducation contre les préjugés et les discriminations est un point essentiel. Il apparaît en effet nécessaire de mettre en place des campagnes de prévention et de lutte contre les LGBTphobies, notamment à destination des élèves, de former les personnels de l’Education nationale et de mettre en place un cadre de référence en matière d’éducation à la sexualité. La Défenseure des droits regrette que la communauté éducative soit encore trop peu sensibilisée à ces sujets et que les cours d’éducation à la sexualité prévus par la loi ne soient toujours pas effectifs et se réduisent encore trop souvent à une information sur la contraception, ou à une prévention des maladies sexuellement transmissibles.

« On ne peut se satisfaire, 40 ans après une telle évolution législative, d’une effectivité partielle des droits. Elle doit être totale et inamovible ».



source article Claire Hédon, Défenseure des droits. 

https://www.defenseurdesdroits.fr/fr/a-la-une/2022/07/40-ans-apres-la-loi-du-4-aout-1982-la-persistance-des-discriminations-envers-les


Rappel historique

Il y a 40 ans, le 4 août 1982, une loi dépénalisait l'homosexualité en France. Retour sur les trois dates clés qui ont marqué les droits des homosexuels français.

Le 4 août 1982, la loi de Vichy définissant une majorité sexuelle différente entre les personnes homosexuelles et hétérosexuelles, est abrogée. Avant d'en arriver là, plusieurs étapes ont marqué les droits des homosexuels.
1791 : abolition du crime de sodomie

En 1791, le crime de sodomie, qui condamnait au bûcher les homosexuels que la pratiquait, est aboli, explique à Libération Thierry Pastorello, historien. À cette époque, ce terme désigne les actes sexuels condamnés par la morale religieuse comme la masturbation, ou encore le sexe anal.


1942 : discrimination dans la majorité sexuelle sous Vichy

En 1942,
le régime de Vichy instaura une discrimination dans la majorité sexuelle. Elle est de 13 ans pour les relations hétérosexuelles (puis 15 ans en 1945) et 21 ans pour les relations homosexuelles. Les relations sexuelles ou intimes entre personnes du même sexe lorsque l'une d'elles est mineure, sont alors pénalisées. Cela, sous prétexte de protection de l'enfance.

1982 dépénalisations de l'homosexualité.

 Il y a 40 ans le 4 août 1982, Gisèle Halimi et Robert Badinter, ministre de la justice, faisaient voter l'abrogation de la loi de Vichy. Cette date est souvent présentée comme la dépénalisation de l'homosexualité. L'Assemblée Nationale demande également à ce que les fiches de polices qui recensaient les homosexuels soient détruites.

Pour plus d’informations sur les  actes LGBTIphobes, se faire aider, soutenir,accompagner, www.sos-homophobie.org

Un autre regard sur le monde.by gr@37

Accusée d’antisémitisme, la Nupes quitte l’Assemblée Les attaques d’Éric Dupond-Moretti puis d’Élisabeth Borne ont provoqué l’ire des députés de gauche lors des traditionnelles questions au gouvernement

 lien vers la vidéo

https://www.huffingtonpost.fr/politique/video/accuses-d-antisemitisme-la-nupes-quitte-de-l-assemblee_206147.html?xtor=EPR-5689964-[daily]-20220803#:~:text=Par%20Anthony%20Berthelier%20et%20Pierre%20Tremblay

« Un petit mot pour l’extrême gauche... » Éric Dupond-Moretti a mis le feu aux poudres à l’Assemblée nationale ce mardi 2 août dans une ambiance déjà surchauffée par d’intenses débats législatifs. Le ministre de la Justice a pris la parole pour répondre au député Les Républicains Meyer Habib, lequel fustigeait un « nouvel antisémitisme toujours présent en France, notamment à la gauche de cet hémicycle, avec les islamogauchistes ».

Après avoir confirmé sa présence, le 9 août prochain, à la commémoration des 40 ans de l’attentat de la rue des Rosiers, comme le demandait l’élu des Français établis hors de France, le garde des Sceaux a, à son tour, pris « l’extrême gauche » pour cible.

« Corbyn, l’apartheid, les mots que vous avez choisi pour commenter le discours du président de la République, ces mots-là vous collent à la peau ! », a-t-il cinglé en se tournant vers les bancs de la NUPES, et plus particulièrement ceux de la France insoumise. Une tirade qui a provoqué la colère des élus de gauche, dont la grande majorité a décidé de quitter l’hémicycle,

Suite de l’article, cliquez sur le lien

https://www.huffingtonpost.fr/politique/video/accuses-d-antisemitisme-la-nupes-quitte-de-l-assemblee_206147.html?xtor=EPR-5689964-[daily]-20220803

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