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mercredi 28 février 2024

IVG. Avortement. En France il y a environ 210 000 avortements par an. Chiffre important, alors une chaine d'information CNews, est obligée de s’excuser pour avoir dit que cela était une cause de mortalité !

IVG = Interruption Volontaire de Grossesse. L’avortement est pratiqué jusqu’à 14 semaines maximum, en France. Peut-on dire que se faire avorter cela supprime une vie, évidement oui, il y a des cellules de vie.

Est-ce une cause de mortalité, le mot n’est pas le bon, on enlève une vie à venir, si la grossesse va à son terme il y a bien vie, et naissance, donc on supprime la vie avant qu’elle n'apparaisse au grand jour.

Nos lois ne reconnaissent pas le fœtus comme un être vivant, aux yeux de certaines personnes ce ne sont que des cellules rien de plus !  La loi dit c'est une chose, alors on comprend mieux pourquoi l'avortement se banalise.

Pour tous ceux qui doute, montrons au grand public, ce qui sort du ventre d’une femme après 14 semaines, un placebo ! soyons réaliste ce sont les prémices de la vie, un fœtus c’est une vie.

Là, il ne s’agit pas d’être contre ou pour l’avortement, il faut regarder la réalité en face. Moins de naissances et plus d’avortements…

 Les femmes ont le pouvoir de faire interrompre la vie. L’avortement leur donne ce droit, qui a réellement le pouvoir dans notre société ! Comme beaucoup de femmes disent vouloir abattre le patriarcat, on peut s’interroger sur le pouvoir des femmes.

Inscrire dans la constitution le droit à l’avortement, revient à donner aux femmes le pouvoir suprême sur les hommes. Dans un couple marié, la femme peut décider sans l'accord de son époux de se faire avorter de l'enfant conçu par le couple. Si la femme ne veut pas d'un rapport sexuel au sein même du couple, elle peut déposer plainte pour viol. L'homme deviendrait il un complément d'objet dans le couple...

 Tout le monde se couche par peur de se faire attaquer par des femmes activistes.  On peut être pour l’avortement sans l’inscrire dans la constitution. Il est vrai que politiquement cela donne une bonne image des politiques, ils ne seraient pas des ringards, des vieux cons, etc. Et puis sous la pression des mouvements et associations féministes, les politiques au Sénat, en majorité des hommes, ils ne voulaient pas devenir la cible des femmes, en votant contre l'inscription de l'avortement dans la constitution.  On peut être contre l'inscription dans la constitution, ce qui ne veut pas dire être contre l’avortement, la pression est trop forte des femmes, elles viennent de prouver leur supériorité sur les hommes.

 Cela va au-delà, c’est une question de société, la France politique veut se montrer leader dans le droit des femmes, pour masquer notre insuffisance des services publics dans la prise en charge des femmes, qui désirent se faire avorter.

L’avortement quand celui-ci est nécessaire cela ne pose pas question. Ce qui est surprenant dans notre société. On met à disposition des femmes des moyens, la pilule, et autres méthodes de contraception. Pour les hommes le préservatif, la vasectomie. Les femmes sont informées, elles ont à leur disposition des moyens d’informations sur les rapports sexuels, et on constate toujours plus d’avortements.

 Les jeunes générations disposent des canaux d’informations, et tout semble pourtant régresser. Ne parlons pas des viols, de l'inceste, et des situations ou la vie de la femme serait en dangers. Des problèmes de santé des femmes, de la santé de l'enfant à naitre. L’avortement permet dans certaines situations de sortir d'une situation difficile et non choisie. 

Ce qui serait intéressant de connaitre ce sont les statistiques, qui définissent les raisons de la demande de se faire avorter pour une femme.  Il y a des avortements ou les femmes, ne veulent tout simplement pas garder l'enfant à venir, pour des raisons personnelles. le droit des femmes à disposer de leur corps, et de la vie.

L'inscription dans la constitution ne changera rien sur le fond, sauf à garantir aux femmes, l'avortement, en cas d’arriver au pouvoir d'un gouvernement, qui remettrait en question la loi sur l'avortement.

Aujourd'hui le pouvoir politique, E Macron en tête, se glorifie d'inscrire dans la constitution le droit à l'avortement, la stratégie est politique, elle permet à E Macron de marquer son passage de président dans l'histoire politique de la France. 

La peur à envahie la société française, la France, n’est pas les États-Unis, il a suffi qu'un homme politique américain dise qu'il va interdire l'avortement, pour faire trembler toute la classe politique française, et les mouvements féministes. En Europe certains pays parlent de remettre en cause l'avortement, alors en France, on se précipite vers la constitution.

On ne remet pas en cause l'avortement quand celui-ci et vitale pour la vie d'une femme.

Devons-nous, nous interroger sur le nombre important d'avortements en France !

Les chiffres français sur le nombre d'avortements sont en augmentation constante. Imaginons si toutes les femmes pouvaient se faire avorter plus facilement par plus de praticiens, nous serions dans la fourchette des 300 000 avortements.

 L’inscription de l'avortement dans la constitution, si on part sur ce postulat, alors il faut inscrire dans la constitution, la mariage pour tous, la PMA, etc.

Ou était l'urgence, pour convoquer aussi rapidement les parlementaires à Versailles, sauf urgence politique pour faire oublier les vrais problèmes de notre société. La société française se fracture chaque jour par une immigration de masse.

Quand il s'agit d'inscrire dans la constitution une loi pour protéger la France de l'immigration, tout le monde hurle, et stop, on laisse les portes ouvertes aux migrants.

Comme quoi il est plus facile d'interrompre la vie, que de stopper celle-ci a nos frontières.

Ce billet est le fruit d'une libre pensée, la liberté d'expression et le regard sur la société que je porte, ne sont attachés aucun dogme à ma réflexion, ou parti politique. Un autre regard sur le monde, regarde notre société avec questionnement sur ces dérives. Les leçons de l'histoire ne servent pas l'humanité, elles remplissent uniquement les pages des livres d'histoires.

Un autre regard sur le monde

dimanche 18 février 2024

Ukraine : L'histoire se répète, les guerres aussi, par la faiblesse, la peur, des dirigeants de ce monde. Ne pas faire de vague, ne pas intervenir pour éviter de rentrer en guerre contre la Russie de Poutine. Les mêmes erreurs du passé, qui ont fait des millions de morts dans le passé. Les pays laissent pourrirent la situation jusqu’au point de non-retour, qui mettra les dirigeants de ce monde devant leurs responsabilités, attendre et encore attendre, pour finir dans le KO et le sang.

 Nous sommes dans un monde ou les dirigeants des pays occidentaux, parlent, gesticulent, sur le fond que se passe t'il ! Commençons par la guerre en Ukraine, certains pays européens, fournissent de l’armement à l'Ukraine, avec les Etats-Unis, pour aider ce pays, à faire face à l'invasion russe sur son sol. Que s'est-il passé depuis 2 ans, la guerre continue. Reprenons le fil de l'histoire, au tout début de l'attaque russe sur le sol Ukrainien, le président Zelenski, a demandé des avions, pour intervenir massivement. Il les attend toujours. 

La guerre continue pourquoi...l'Europe et les Etats-Unis, ne sont pas intervenus militairement dans les toutes premières semaines, pour anéantir toutes les forces militaires russe, qui se trouvaient en Ukraine. Pas belligérants, le mot qui dédouane les mains tremblantes des pays européens.  Ils disent nous ne sommes pas en guerre contre la Russie, ce sont nos armes qui tuent aussi des soldats russes, nous l’affichons fièrement, sommes-nous un peu des faux-culs, Poutine, connait la situation et la position politique des européens... la situation perdure, cela nous rappelle, la seconde guerre mondiale, elle s'est terminée, par une coalition des pays alliés, contre l’Allemagne nazi.

 Aujourd'hui, la guerre en Ukraine se terminera si tous les pays interviennent militairement en Ukraine. Poutine connait la faiblesse des pays occidentaux. Si une attaque massive contre l'occupant russe, avait eu lieu au début du conflit, la guerre serait déjà dans les livres d'histoire... Poutine, n'aurait pas dégainer l'arme nucléaire, et serait aujourd'hui hors de l'Ukraine. Poutine est un joueur d'échecs, il aurait retiré ses pions. Tous les pays qui fournissent des armes à l'Ukraine, sans vouloir intervenir militairement, font que la guerre peut durer encore très longtemps. La peur face à Poutine, lui donne raison sur l'analyse des pays occidentaux, qu'il regarde comme des nains dans les mains des USA. Pour que cette guerre se termine rapidement, il faut une intervention militaire des pays amis de l'Ukraine, croire que l'intervention risque de déclencher une réponse nucléaire de Poutine, n'a pas de sens, Poutine ne veut pas que son pays, soit la cible d’une attaque. L'ONU, l'Europe, les États-Unis... parlent beaucoup, ils laissent l'Ukraine seul face à l'armée russe, ils ont peur, ils répètent, nous ne sommes pas en guerre contre la Russie, ce genre de discours, fait que la guerre est toujours d'actualité, l’Ukraine est bien seul, pour affronter la Russie de Poutine.

 Une intervention militaire de certains pays en Ukraine,pour soutenir ce pays, qui se trouve seul devant l'offensive Russe, devrait étre un objectif présent dans la téte des dirigeants des pays alliés de l'ukraine.

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mercredi 14 février 2024

La liberté d’expression remise en cause par l ’ARCOM, La chaine CNEWS est dans le viseur de l’ARCOM.

 S’immiscer dans la ligne éditorialiste d’une rédaction, d’une chaine, relève d’une ingérence digne des pays ou la presse est muselée, dans les régimes autoritaires comme en RUSSIE, ou les chaines sont sous la coupe du pouvoir.

Une chaine privée comme CNEWS, dérange, elle est souvent dans l’œil du cyclone de la gauche bien-pensante, de certains journalistes de gauche et des politiques, qui font pression sur les autorités de régulation des médias, pour museler la liberté d’expression de cette chaine.

CNEWS, que tous ses adversaires place à droite, ils devraient dans ce cas s’interroger sur la chaine BFMTV, qui penche à gauche, et surtout dans le voyeurisme, ce n’est plus de l’information cela devient un lavage de cerveau.

CNEWS est une chaine privée, qui ne perçois pas d’argent public, elle dérange tous les gens de gauche, qui eux sont sectaires, qui hurlent à longueur d’année, liberté, liberté, dés que cette liberté les dérange, ils deviennent les adversaires de leur propre idéologie.

Qu’on laisse aux chaines leur liberté, on aime ou pas, dans ce cas on passe à une autre chaine. La liberté c’est le libre choix de choisir son programme sa chaine, sans interférence d’une autorité.

RSF, reporter sans frontière, se tire une balle dans le pied, en demandant au conseil d'état, de faire pression sur l'ARCOM, afin de sanctionner les chaines, comme CNEWS,

La France s'enfonce t'elle sur un chemin qui met la liberté d'expression, le choix éditorial des rédactions en danger,  La liberté d'expression, comme le choix des invités sur les plateaux des chaines, ne doivent en aucun cas faire l'objet d'un contrôle de l'état, ou alors nous sommes revenus au temps d'avant 1981, ou les politiques, le pouvoir, contrôlés tous les médias.

Tous ces organismes qui veulent se faire juge au nom de la pluralité de l’information, ne sont en réalité que des faire-valoir au service d’une idéologie sectaire et réactionnaire.

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