Société, la liste des moyens de surveillance et de contrôle des citoyens .
Un autre regard sur le monde
- Georges RATINEAU
- Tours, Centre-val de loire 37000, France
- la culture, la politique, la société, l'art, la mode, l'actualité, France, Europe, international.
mercredi 15 mai 2024
liberté ,elle fond comme les icebergs, nos libertés subissent aussi le réchauffement du climat politique et social.
mardi 14 mai 2024
Un livre qui bouscule, Les autrices sont menacées de mort par des activistes qui n'acceptent pas que l'on critique, ou attaque leur idéologie, le milieu LGBTI+ dénonce de la transphobie !
Un livre qui
dérange, que certains libraires ne veulent pas commander, des activistes trans,
vont dans les librairies pour le dissimuler des yeux du public. Des menaces
contre les autrices,
des associations qui portent plaintes contre les autrices.
j'ai lu le livre, il n'y a pas de transphobie, en partant du postulat transphobe,
on ne pourrait plus rien écrire et dire sur le sujet. Ce livre dérange, chacun
se fera son idée sur le sujet.
Connaissant moi-même le milieu LGBTI+, ce livre a le mérite de mettre sous les
projecteurs les travers d'une société, qui pense protéger ses concitoyens, la
finalité se traduit par un mal être qui se propage, et abime des corps et des
esprits. On ne peut occulter la souffrance des personnes trans qui est réelle,
et d'une jeunesse qui se cherche.
By Un autre regard sur le monde.
Il est mis en
avant des choses que le grand public ne connait pas. Il n’y a pas de
transphobie. Certains passages du livre sont un peu redondants. Concernant les
jeunes personnes mineurs, il faut les protéger de la prédation de certaines
associations ou mouvements.
Pour les personnes qui ne connaissent pas le milieu, le livre peut paraitre du
charabia, même si on n'aime pas le livre on ne censure pas, la liberté
d'expression des autrices doit être respecter, sans haine ni invectives.
Les opposants à ce livre, doivent débattre avec les autrices, dans un climat
serein et non violent, et non comme aujourd'hui en accusant les gens qui
s'opposent de transphobes, ou en les menaçants de mort.
Aujourd'hui dans notre société, il y a des activistes de la cause trans, qui se
transforment en extrémistes qui menacent de mort des femmes écrivaines. La
dérive est le résultat d'une idéologie qui se transforme en dogme moyenâgeux,
dont le but est d'anéantir toute opposition à leur vision de la société et du
monde.
Les lois sont parfois une arme de destruction, le mot transphobe est un exemple
de cette dérive, qui arme les extrémistes pour museler toutes critiques ou
oppositions, même par la violence, pour arriver à leur fin, dominer et imposer.
Ayons en mémoire l'écrivain Salman Rushdie, victime d'une attaque, par des
extrémistes, pour avoir écrit les versets sataniques. Pour ces deux écrivaines
de Transmania, leurs vies sont également en danger de mort.
Le sujet trans sera celui qui fera la une des médias, la pression des associations
trans et des activiste en France et à l'étranger, les placeront comme les
victimes d'une société qui serait transphobe. Derrière des chiffres se cachent
parfois une autre réalité, est transphobe celui qui critique, qui s'oppose à
l'idéologie trans qui gagne chaque du terrain, dans les écoles, les
entreprises, les administrations, en médecine, et dans bien d'autres pans de la
société. Les activistes de la cause trans, feront en sorte que la transphobie
soit en haut de l'affiche. Ils, elles, ne reculeront devant rien pour arriver
par tous les moyens, même en appelant certaines lignes d'écoute, des médias,
des associations, des politiques, il faut occuper le terrain pour finir par
imposer ses codes ses mots, son idéologie.
Toute violence physique sur les personnes trans doit être condamnée, on s'attaque à l’idéologie au dogme, et non aux personnes physiquement. Respect des personnes trans dans leur vie, comme au travail, sans discrimination et remarques transphobes.
Tout cela est regrettable pour les personnes trans, qui ne se reconnaissent pas
dans tout ce cirque associatif et médiatique, cela fait mal aux personnes trans
qui vivent normalement, travaillent, ont une vie sociale. Elles se sentent
marginalisées par ces associations qui agitent les drapeaux, qui seraient
l'emblème des trans, ces personnes, elles n'en veulent pas de ce drapeau qui
est un marqueur qui désigne une catégorie de la population en les montrant du
doigt.
Cela abime notre image, et remet en question notre façon de vivre comme tout le
monde, avec nos relations sociales et amicales, nous avons fait beaucoup
d'efforts, pour arriver à être dans la société sans symbole, comme tous les
citoyens… Ce passage est le fruit de mes rencontres avec des personnes trans
dans ma région, c'est une réalité sociale et humaine.
Le changement de prénom pour les jeunes mineurs, ne se fait pas à la légère, faut-il attendre que l'enfant soit d'avantage construit sur le plan émotionnel et psychologique, (la dysphorie de genre, n'indique pas obligatoirement une maladie, elle peut être une période trouble que l'enfant traverse) attendre l'âge adulte serait préférable, avec l'accompagnement si besoin, d'un professionnel de santé, qui soit hors milieu. Les parents et les enfants sont sans boussole, ils subissent la manipulation feutrée, et bienveillante des associations, et des activistes de la cause trans, avec l'objectif de les rassurer en disant tout va bien, dans le seul but de faire un adepte futur de la transition. Le danger des bloqueurs de puberté est sous-estimé, les effets sur le corps physique et psychique, peuvent se révéler un problème pour l'évolution futur de la personne. Les professionnels de santé ne savent pas grand-chose, sauf à prescrire. L'industrie pharmaceutique tire profit de ce business. Les lois françaises qui autorisent le changement de prénom à l'école et l'IVG, pour les mineurs, sans autorisation des parents, posent questions sur les dérives de notre société. Des politiques qui légifèrent sous la pression des lobby de la cause trans, en pensant bien faire, la société va dans le mur.
Venir en aide à des jeunes, certes il y des cas ou une aide est nécessaire à leur qualité de vie, ou la dysphorie de genre est parfois un cri d’alarme qui doit être pris en compte. Attention toutefois à ne pas fournir les armes qui finiront par les tuer à l'âge adulte, le taux de suicides des personnes trans adultes est supérieur à la norme. Un corps détruit peut faire l'objet d'interventions chirurgicales, l’esprit, le cerveau, lâcheront et aucune intervention ne viendra arrêter le processus qui mettra fin à la vie de la personne.
https://www.spp.asso.fr/transidentite-rapport-au-reel-et-limites-de-lautodetermination/