IVG = Interruption Volontaire de Grossesse. L’avortement est pratiqué jusqu’à 14 semaines maximum, en France. Peut-on dire que se faire avorter cela supprime une vie, évidement oui, il y a des cellules de vie.
Est-ce une cause de mortalité, le
mot n’est pas le bon, on enlève une vie à venir, si la grossesse va à son
terme il y a bien vie, et naissance, donc on supprime la vie avant qu’elle
n'apparaisse au grand jour.
Nos lois ne reconnaissent pas le fœtus
comme un être vivant, aux yeux de certaines personnes ce ne sont que des
cellules rien de plus ! La loi dit c'est une chose, alors on comprend
mieux pourquoi l'avortement se banalise.
Pour tous ceux qui doute, montrons
au grand public, ce qui sort du ventre d’une femme après 14 semaines, un
placebo ! soyons réaliste ce sont les prémices de la vie, un fœtus c’est
une vie.
Là, il ne s’agit pas d’être contre
ou pour l’avortement, il faut regarder la réalité en face. Moins de naissances
et plus d’avortements…
Les femmes ont le pouvoir de
faire interrompre la vie. L’avortement leur donne ce droit, qui a réellement le
pouvoir dans notre société ! Comme beaucoup de femmes disent vouloir
abattre le patriarcat, on peut s’interroger sur le pouvoir des femmes.
Inscrire dans la constitution le
droit à l’avortement, revient à donner aux femmes le pouvoir suprême sur les
hommes. Dans un couple marié, la femme peut décider sans l'accord de son époux de se faire avorter de l'enfant conçu par le couple. Si la femme ne veut pas d'un rapport sexuel au sein même du couple, elle peut déposer plainte pour viol. L'homme deviendrait il un complément d'objet dans le couple...
Tout le monde se couche par
peur de se faire attaquer par des femmes activistes. On peut être pour
l’avortement sans l’inscrire dans la constitution. Il est vrai que
politiquement cela donne une bonne image des politiques, ils ne seraient pas
des ringards, des vieux cons, etc. Et puis sous la pression des mouvements et
associations féministes, les politiques au Sénat, en majorité des hommes, ils
ne voulaient pas devenir la cible des femmes, en votant contre l'inscription de
l'avortement dans la constitution. On peut être contre l'inscription dans
la constitution, ce qui ne veut pas dire être contre l’avortement, la pression
est trop forte des femmes, elles viennent de prouver leur supériorité sur les
hommes.
Cela va au-delà, c’est une
question de société, la France politique veut se montrer leader dans le droit
des femmes, pour masquer notre insuffisance des services publics dans la prise
en charge des femmes, qui désirent se faire avorter.
L’avortement quand celui-ci est
nécessaire cela ne pose pas question. Ce qui est surprenant dans notre société.
On met à disposition des femmes des moyens, la pilule, et autres méthodes de
contraception. Pour les hommes le préservatif, la vasectomie. Les femmes sont
informées, elles ont à leur disposition des moyens d’informations sur les
rapports sexuels, et on constate toujours plus d’avortements.
Les jeunes générations
disposent des canaux d’informations, et tout semble pourtant régresser. Ne
parlons pas des viols, de l'inceste, et des situations ou la vie de la femme
serait en dangers. Des problèmes de santé des femmes, de la santé de l'enfant à
naitre. L’avortement permet dans certaines situations de sortir d'une situation
difficile et non choisie.
Ce qui serait intéressant de
connaitre ce sont les statistiques, qui définissent les raisons de la demande
de se faire avorter pour une femme. Il y a des avortements ou les femmes,
ne veulent tout simplement pas garder l'enfant à venir, pour des raisons
personnelles. le droit des femmes à disposer de leur corps, et de la vie.
L'inscription dans la constitution
ne changera rien sur le fond, sauf à garantir aux femmes, l'avortement, en cas
d’arriver au pouvoir d'un gouvernement, qui remettrait en question la loi sur
l'avortement.
Aujourd'hui le pouvoir politique, E
Macron en tête, se glorifie d'inscrire dans la constitution le droit à
l'avortement, la stratégie est politique, elle permet à E Macron de marquer son
passage de président dans l'histoire politique de la France.
La peur à envahie la société française, la France, n’est pas les États-Unis, il a suffi qu'un homme politique américain dise qu'il va interdire l'avortement, pour faire trembler toute la classe politique française, et les mouvements féministes. En Europe certains pays parlent de remettre en cause l'avortement, alors en France, on se précipite vers la constitution.
On ne remet pas en cause
l'avortement quand celui-ci et vitale pour la vie d'une femme.
Devons-nous, nous interroger sur le
nombre important d'avortements en France !
Les chiffres français sur le nombre
d'avortements sont en augmentation constante. Imaginons si toutes les femmes
pouvaient se faire avorter plus facilement par plus de praticiens, nous serions
dans la fourchette des 300 000 avortements.
L’inscription de l'avortement
dans la constitution, si on part sur ce postulat, alors il faut inscrire dans
la constitution, la mariage pour tous, la PMA, etc.
Ou était l'urgence, pour convoquer
aussi rapidement les parlementaires à Versailles, sauf urgence politique pour
faire oublier les vrais problèmes de notre société. La société française se
fracture chaque jour par une immigration de masse.
Quand il s'agit d'inscrire dans la
constitution une loi pour protéger la France de l'immigration, tout le monde
hurle, et stop, on laisse les portes ouvertes aux migrants.
Comme quoi il est plus facile
d'interrompre la vie, que de stopper celle-ci a nos frontières.
Ce billet est le fruit d'une libre
pensée, la liberté d'expression et le regard sur la société que je porte, ne
sont attachés aucun dogme à ma réflexion, ou parti politique. Un autre regard
sur le monde, regarde notre société avec questionnement sur ces dérives. Les
leçons de l'histoire ne servent pas l'humanité, elles remplissent uniquement
les pages des livres d'histoires.
Un autre regard sur le monde
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