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mardi 14 mai 2024

Un livre qui bouscule, Les autrices sont menacées de mort par des activistes qui n'acceptent pas que l'on critique, ou attaque leur idéologie, le milieu LGBTI+ dénonce de la transphobie !

 Un livre qui dérange, que certains libraires ne veulent pas commander, des activistes trans, vont dans les librairies pour le dissimuler des yeux du public. Des menaces contre les autrices,
des associations qui portent plaintes contre les autrices.

j'ai lu le livre, il n'y a pas de transphobie, en partant du postulat transphobe, on ne pourrait plus rien écrire et dire sur le sujet. Ce livre dérange, chacun se fera son idée sur le sujet.
Connaissant moi-même le milieu LGBTI+, ce livre a le mérite de mettre sous les projecteurs les travers d'une société, qui pense protéger ses concitoyens, la finalité se traduit par un mal être qui se propage, et abime des corps et des esprits. On ne peut occulter la souffrance des personnes trans qui est réelle, et d'une jeunesse qui se cherche. 


 Il est mis en avant des choses que le grand public ne connait pas. Il n’y a pas de transphobie. Certains passages du livre sont un peu redondants. Concernant les jeunes personnes mineurs, il faut les protéger de la prédation de certaines associations ou mouvements.


Pour les personnes qui ne connaissent pas le milieu, le livre peut paraitre du charabia, même si on n'aime pas le livre on ne censure pas, la liberté d'expression des autrices doit être respecter, sans haine ni invectives.

Les opposants à ce livre, doivent débattre avec les autrices, dans un climat serein et non violent, et non comme aujourd'hui en accusant les gens qui s'opposent de transphobes, ou en les menaçants de mort.
Aujourd'hui dans notre société, il y a des activistes de la cause trans, qui se transforment en extrémistes qui menacent de mort des femmes écrivaines. La dérive est le résultat d'une idéologie qui se transforme en dogme moyenâgeux, dont le but est d'anéantir toute opposition à leur vision de la société et du monde.

Les lois sont parfois une arme de destruction, le mot transphobe est un exemple de cette dérive, qui arme les extrémistes pour museler toutes critiques ou oppositions, même par la violence, pour arriver à leur fin, dominer et imposer.
Ayons en mémoire l'écrivain Salman Rushdie, victime d'une attaque, par des extrémistes, pour avoir écrit les versets sataniques. Pour ces deux écrivaines de Transmania, leurs vies sont également en danger de mort.

 Il est mis en avant des choses que le grand public ne connait pas. Il n’y a pas de transphobie. Certains passages du livre sont un peu redondants. Concernant les jeunes personnes mineurs, il faut les protéger de la prédation de certaines associations ou mouvements.

Pour les personnes qui ne connaissent pas le milieu, le livre peut paraitre du charabia, même si on n'aime pas le livre on ne censure pas, la liberté d'expression des autrices doit être respecter, sans haine ni invectives.

Les opposants à ce livre, doivent débattre avec les autrices, dans un climat serein et non violent, et non comme aujourd'hui en accusant les gens qui s'opposent de transphobes, ou en les menaçants de mort.
Aujourd'hui dans notre société, il y a des activistes de la cause trans, qui se transforment en extrémistes qui menacent de mort des femmes écrivaines. La dérive est le résultat d'une idéologie qui se transforme en dogme moyenâgeux, dont le but est d'anéantir toute opposition à leur vision de la société et du monde.

Les lois sont parfois une arme de destruction, le mot transphobe est un exemple de cette dérive, qui arme les extrémistes pour museler toutes critiques ou oppositions, même par la violence, pour arriver à leur fin, dominer et imposer.
Ayons en mémoire l'écrivain Salman Rushdie, victime d'une attaque, par des extrémistes, pour avoir écrit les versets sataniques. Pour ces deux écrivaines de Transmania, leurs vies sont également en danger de mort.


Le sujet trans sera celui qui fera la une des médias, la pression des associations trans et des activiste en France et à l'étranger, les placeront comme les victimes d'une société qui serait transphobe. Derrière des chiffres se cachent parfois une autre réalité, est transphobe celui qui critique, qui s'oppose à l'idéologie trans qui gagne chaque du terrain, dans les écoles, les entreprises, les administrations, en médecine, et dans bien d'autres pans de la société. 

Les activistes de la cause trans, feront en sorte que la transphobie soit en haut de l'affiche. Ils, elles, ne reculeront devant rien pour arriver par tous les moyens, même en appelant certaines lignes d'écoute, des médias, des associations, des politiques, il faut occuper le terrain pour finir par imposer ses codes ses mots, son idéologie

 Il suffit de lire les revendications des mouvements trans, qui veulent se substituer à toutes les formes d'autorités, médicale, politique, judicaire, afin de gérer l'ensemble du parcours de l'enfant, le changement de prénom doit se faire comme une lettre à la poste, la prise des bloqueurs de puberté ce n'est pas un problème, on le fera nous-même, bref tout contrôler et régenter.

Voilà ce que veulent les associations trans, elles partent du principe qu'elles savent mieux que les autres. Elles parlent d'autodétermination, comme si cela était un état dans l'état.

On peut y voir tous les prémices d'un pouvoir sur la société politique, une dictature du genre, pour anéantir le mot sexe et la biologie humaine, le genre serait ce code qui déterminerait ce que vous pensez être, et non ce que vous êtes biologiquement par vos estrogènes, et votre testostérone et les cellules qui composent votre ADN. 


La plus grande supercherie est de faire croire aux gens, (le planning familial) qu'un homme trans peut être enceinte. En manipulant les mots, en mystifiant le corps, en modifiant l'état civil, on fait croire qu'un homme avec une barbe est "enceinte".  En réalité, c'est une femme avec un utérus, des ovaires, des estrogènes, tout d'une femme, le tour de passe-passe réside dans le changement du sexe à l'état civil (et non le genre qui n'est pas biologique). Une mystification, une tromperie.

 Les femmes, les féministes devraient se révolter et pourtant, il ne se passe pas grand-chose, sous la pression des mouvements trans, qui menacent, insultent, traitent de transphobe toutes les oppositions à leur idéologie trans. Ces femmes qui s'opposent, ont un nom ce sont des TERF (féminine radicale excluant les personnes trans) voilà aux yeux des trans, ce que sont des femmes, qui défendent les vraies femmes qui le sont biologiquement. Le mot radicale, prouve la violence du mouvement trans, qui ne supporte aucune critique et contestation. Les femmes TERF, n'excluent pas les personnes trans, elles dénoncent la mystification, à faire croire que les femmes trans, sont des femmes qui seraient comme les femmes, qui le sont biologiquement, qui ont leurs règles, leurs utérus, leurs ovaires, un vrai vagin…

 Des manifestations des associations partout en France, pour faire barrage à la proposition de loi, qui s’oppose aux bloqueurs de puberté pour les mineurs, et a toutes transitions chirurgicales sur les enfants mineurs.  Le rôle des politiques et de protéger les enfants mineurs de la prédation des mouvements et associations, qui veulent imposer par tous les moyens leur idéologies trans dès le plus jeune âge. 

Les parents d'enfants trans, qui militent pour la cause trans, ne font en réalité que de se rassurer eux-mêmes, le message des associations est clair, tout va bien laisser votre enfant avec sa binarité. Ainsi les parents se déchargent d'un poids, en demandant à la société de validé en quelque sorte leur non-responsabilité pour tout ce qui adviendra par la suite.

Ce n'est pas l'intérêt de l'enfant qui est défendu, mais celui des parents, l'enfant lui est la victime du monde des adultes. 

Toute violence physique sur les personnes trans doit être condamnée, on s'attaque à l’idéologie au dogme, et non aux personnes physiquement. Respect des personnes trans dans leur vie, comme au travail, sans discrimination et remarques transphobes.

Tout cela est regrettable pour les personnes trans, qui ne se reconnaissent pas dans tout ce cirque associatif et médiatique, cela fait mal aux personnes trans qui vivent normalement, travaillent, ont une vie sociale. Elles se sentent marginalisées par ces associations qui agitent les drapeaux, qui seraient l'emblème des trans, ces personnes, elles n'en veulent pas de ce drapeau qui est un marqueur qui désigne une catégorie de la population en les montrant du doigt.
Cela abime notre image, et remet en question notre façon de vivre comme tout le monde, avec nos relations sociales et amicales, nous avons fait beaucoup d'efforts, pour arriver à être dans la société sans symbole, comme tous les citoyens… Ce passage est le fruit de mes rencontres avec des personnes trans dans ma région, c'est une réalité sociale et humaine.

Le changement de prénom pour les jeunes mineurs, ne se fait pas à la légère, faut-il attendre que l'enfant soit d'avantage construit sur le plan émotionnel et psychologique, (la dysphorie de genre, n'indique pas obligatoirement une maladie, elle peut être une période trouble que l'enfant traverse) attendre l'âge adulte serait préférable, avec l'accompagnement si besoin, d'un professionnel de santé, qui soit hors milieu. Les parents et les enfants sont sans boussole, ils subissent la manipulation feutrée, et bienveillante des associations, et des activistes de la cause trans, avec l'objectif de les rassurer en disant tout va bien, dans le seul but de faire un adepte futur de la transition.

 Le danger des bloqueurs de puberté est sous-estimé, les effets sur le corps physique et psychique, peuvent se révéler un problème pour l'évolution futur de la personne. Les professionnels de santé ne savent pas grand-chose, sauf à prescrire. L'industrie pharmaceutique tire profit de ce business. Les lois françaises (circulaire Blanquer) qui autorisent le changement de prénom à l’école, pour les mineurs, avec l'autorisation des parents, posent question. Des politiques qui légifèrent sous la pression des lobby de la cause trans, en pensant bien faire, sans vision de l’avenir et des conséquences pour le devenir du futur adulte. Le changement de prénom c’est un pied vers la transidentité, qui peut ouvrir les portes au parcours de transition.

Venir en aide à des jeunes, certes il y des cas ou une aide est nécessaire à leur qualité de vie, ou la dysphorie de genre est parfois un cri d’alarme qui doit être pris en compte. Attention toutefois à ne pas fournir les armes qui finiront par les tuer à l'âge adulte, le taux de suicides des personnes trans adultes est supérieur à la norme. Un corps peut faire l'objet d'interventions chirurgicales, pas l'esprit et le psychisme.

https://www.lepoint.fr/debats/transgenre-changer-de-sexe-chez-l-etre-humain-est-impossible-11-04-2024-2557446_2.php#11


Un homme peut-il être enceint! Vrai ou faux...


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