Un livre qui dérange, que certains libraires ne
veulent pas commander, des activistes trans, vont dans les librairies pour le
dissimuler des yeux du public. Des menaces contre les autrices,
des associations qui portent plaintes contre les autrices.
j'ai lu le livre, il n'y a pas de transphobie, en partant du postulat
transphobe, on ne pourrait plus rien écrire et dire sur le sujet. Ce livre
dérange, chacun se fera son idée sur le sujet.
Connaissant moi-même le milieu LGBTI+, ce livre a le mérite de mettre sous les
projecteurs les travers d'une société, qui pense protéger ses concitoyens, la
finalité se traduit par un mal être qui se propage, et abime des corps et des
esprits. On ne peut occulter la souffrance des personnes trans qui est réelle,
et d'une jeunesse qui se cherche.
Il est mis en avant des choses que le grand public ne connait pas. Il n’y a pas de transphobie. Certains passages du livre sont un peu redondants. Concernant les jeunes personnes mineurs, il faut les protéger de la prédation de certaines associations ou mouvements.
Pour les personnes qui ne connaissent pas le milieu, le livre peut paraitre du
charabia, même si on n'aime pas le livre on ne censure pas, la liberté
d'expression des autrices doit être respecter, sans haine ni invectives.
Les opposants à ce livre, doivent débattre avec les autrices, dans un climat
serein et non violent, et non comme aujourd'hui en accusant les gens qui
s'opposent de transphobes, ou en les menaçants de mort.
Aujourd'hui dans notre société, il y a des activistes de la cause trans, qui se
transforment en extrémistes qui menacent de mort des femmes écrivaines. La
dérive est le résultat d'une idéologie qui se transforme en dogme moyenâgeux,
dont le but est d'anéantir toute opposition à leur vision de la société et du
monde.
Les lois sont parfois une arme de destruction, le mot transphobe est un exemple
de cette dérive, qui arme les extrémistes pour museler toutes critiques ou
oppositions, même par la violence, pour arriver à leur fin, dominer et imposer.
Ayons en mémoire l'écrivain Salman Rushdie, victime d'une attaque, par des
extrémistes, pour avoir écrit les versets sataniques. Pour ces deux écrivaines
de Transmania, leurs vies sont également en danger de mort.
Il est mis en avant des choses que le grand
public ne connait pas. Il n’y a pas de transphobie. Certains passages du livre
sont un peu redondants. Concernant les jeunes personnes mineurs, il faut les
protéger de la prédation de certaines associations ou mouvements.
Pour les personnes qui ne connaissent pas le milieu, le livre peut paraitre du
charabia, même si on n'aime pas le livre on ne censure pas, la liberté
d'expression des autrices doit être respecter, sans haine ni invectives.
Les opposants à ce livre, doivent débattre avec les autrices, dans un climat
serein et non violent, et non comme aujourd'hui en accusant les gens qui
s'opposent de transphobes, ou en les menaçants de mort.
Aujourd'hui dans notre société, il y a des activistes de la cause trans, qui se
transforment en extrémistes qui menacent de mort des femmes écrivaines. La
dérive est le résultat d'une idéologie qui se transforme en dogme moyenâgeux,
dont le but est d'anéantir toute opposition à leur vision de la société et du
monde.
Les lois sont parfois une arme de destruction, le mot transphobe est un exemple
de cette dérive, qui arme les extrémistes pour museler toutes critiques ou
oppositions, même par la violence, pour arriver à leur fin, dominer et imposer.
Ayons en mémoire l'écrivain Salman Rushdie, victime d'une attaque, par des
extrémistes, pour avoir écrit les versets sataniques. Pour ces deux écrivaines
de Transmania, leurs vies sont également en danger de mort.
Le sujet trans sera celui qui fera
la une des médias, la pression des associations trans et des activiste en
France et à l'étranger, les placeront comme les victimes d'une société qui
serait transphobe. Derrière des chiffres se cachent parfois une autre réalité,
est transphobe celui qui critique, qui s'oppose à l'idéologie trans qui gagne
chaque du terrain, dans les écoles, les entreprises, les administrations, en
médecine, et dans bien d'autres pans de la société.
Les activistes de la cause trans, feront en sorte que
la transphobie soit en haut de l'affiche. Ils, elles, ne reculeront devant rien
pour arriver par tous les moyens, même en appelant certaines lignes d'écoute,
des médias, des associations, des politiques, il faut occuper le terrain pour
finir par imposer ses codes ses mots, son idéologie
Il suffit de lire les revendications des
mouvements trans, qui veulent se substituer à toutes les formes d'autorités,
médicale, politique, judicaire, afin de gérer l'ensemble du parcours de
l'enfant, le changement de prénom doit se faire comme une lettre à la poste, la
prise des bloqueurs de puberté ce n'est pas un problème, on le fera nous-même,
bref tout contrôler et régenter.
Voilà ce que veulent les associations trans, elles
partent du principe qu'elles savent mieux que les autres. Elles parlent
d'autodétermination, comme si cela était un état dans l'état.
On peut y voir tous les prémices d'un pouvoir sur la société politique, une dictature du genre, pour anéantir le mot sexe et la biologie humaine, le genre serait ce code qui déterminerait ce que vous pensez être, et non ce que vous êtes biologiquement par vos estrogènes, et votre testostérone et les cellules qui composent votre ADN.
La plus grande
supercherie est de faire croire aux gens, (le planning familial) qu'un homme
trans peut être enceinte. En
manipulant les mots, en mystifiant le corps, en modifiant l'état civil, on fait
croire qu'un homme avec une barbe est "enceinte". En
réalité, c'est une femme avec un utérus, des ovaires, des estrogènes, tout
d'une femme, le tour de passe-passe réside dans le changement du sexe à l'état
civil (et non le genre qui n'est pas biologique). Une mystification, une
tromperie.
Les femmes, les féministes
devraient se révolter et pourtant, il ne se passe pas grand-chose, sous la
pression des mouvements trans, qui menacent, insultent, traitent de transphobe
toutes les oppositions à leur idéologie trans. Ces femmes qui s'opposent, ont
un nom ce sont des TERF (féminine radicale excluant les personnes trans) voilà
aux yeux des trans, ce que sont des femmes, qui défendent les vraies femmes qui
le sont biologiquement. Le mot radicale, prouve la violence du mouvement trans,
qui ne supporte aucune critique et contestation. Les femmes TERF, n'excluent
pas les personnes trans, elles dénoncent la mystification, à faire croire que
les femmes trans, sont des femmes qui seraient comme les femmes, qui le sont
biologiquement, qui ont leurs règles, leurs utérus, leurs ovaires, un vrai
vagin…
Des
manifestations des associations partout en France, pour faire barrage à la
proposition de loi, qui s’oppose aux bloqueurs de puberté pour les mineurs, et
a toutes transitions chirurgicales sur les enfants mineurs. Le rôle des
politiques et de protéger les enfants mineurs de la prédation des mouvements et
associations, qui veulent imposer par tous les moyens leur idéologies trans dès
le plus jeune âge.
Les parents d'enfants trans, qui
militent pour la cause trans, ne font en réalité que de se rassurer eux-mêmes,
le message des associations est clair, tout va bien laisser votre enfant avec
sa binarité. Ainsi les parents se déchargent d'un poids, en demandant à la
société de validé en quelque sorte leur non-responsabilité pour tout ce qui
adviendra par la suite.
Ce n'est pas l'intérêt de l'enfant
qui est défendu, mais celui des parents, l'enfant lui est la victime du monde
des adultes.
Toute violence physique sur les
personnes trans doit être condamnée, on s'attaque à l’idéologie au dogme, et
non aux personnes physiquement. Respect des personnes trans dans leur vie,
comme au travail, sans discrimination et remarques transphobes.
Tout cela est regrettable pour les personnes trans, qui ne se reconnaissent pas
dans tout ce cirque associatif et médiatique, cela fait mal aux personnes trans
qui vivent normalement, travaillent, ont une vie sociale. Elles se sentent
marginalisées par ces associations qui agitent les drapeaux, qui seraient
l'emblème des trans, ces personnes, elles n'en veulent pas de ce drapeau qui
est un marqueur qui désigne une catégorie de la population en les montrant du
doigt.
Cela abime notre image, et remet en question notre façon de vivre comme tout le
monde, avec nos relations sociales et amicales, nous avons fait beaucoup
d'efforts, pour arriver à être dans la société sans symbole, comme tous les
citoyens… Ce passage est le fruit de mes rencontres avec des personnes trans
dans ma région, c'est une réalité sociale et humaine.
Le changement de prénom pour les jeunes mineurs, ne se fait pas à la légère,
faut-il attendre que l'enfant soit d'avantage construit sur le plan émotionnel
et psychologique, (la dysphorie de genre, n'indique pas obligatoirement une
maladie, elle peut être une période trouble que l'enfant traverse) attendre
l'âge adulte serait préférable, avec l'accompagnement si besoin, d'un
professionnel de santé, qui soit hors milieu. Les parents et les enfants sont
sans boussole, ils subissent la manipulation feutrée, et bienveillante des
associations, et des activistes de la cause trans, avec l'objectif de les
rassurer en disant tout va bien, dans le seul but de faire un adepte futur de
la transition.
Le danger des bloqueurs de
puberté est sous-estimé, les effets sur le corps physique et psychique, peuvent
se révéler un problème pour l'évolution futur de la personne. Les
professionnels de santé ne savent pas grand-chose, sauf à prescrire. L'industrie
pharmaceutique tire profit de ce business. Les lois françaises (circulaire
Blanquer) qui autorisent le changement de prénom à l’école, pour les mineurs,
avec l'autorisation des parents, posent question. Des politiques qui légifèrent
sous la pression des lobby de la cause trans, en pensant bien faire, sans
vision de l’avenir et des conséquences pour le devenir du futur adulte. Le
changement de prénom c’est un pied vers la transidentité, qui peut ouvrir les
portes au parcours de transition.
Venir en aide à des jeunes, certes il y des cas ou une aide est nécessaire à
leur qualité de vie, ou la dysphorie de genre est parfois un cri d’alarme qui
doit être pris en compte. Attention toutefois à ne pas fournir les armes qui
finiront par les tuer à l'âge adulte, le taux de suicides des personnes trans
adultes est supérieur à la norme. Un corps peut faire l'objet d'interventions
chirurgicales, pas l'esprit et le psychisme.
https://www.lepoint.fr/societe/sa-majeste-le-clitoris-14-09-2018-2251140_23.php
L'école subirait elle le prosélytisme des associations trans.
https://www.causeur.fr/ideologie-trans-effondrement-ecole-pap-ndiaye-ici-on-peut-etre-soi-260366
je mets les liens pour une pluralité informationnelle.
https://www.outrans.org/autosupport/rendez-vous/trans-et-en-questionnement/
https://tetu.com/2022/04/01/trinity-the-tuck-fait-son-coming-out-trans-non-binaire/
by Un autre regard sur le monde
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