Boualem Sansal, est libre, grâce à
l'intervention de nos amis allemands, et aux liens que le président Algérien a
entretenu avec l'Allemagne pendant la période du covid !
Nous ne pouvons que nous réjouir de la libération de notre compatriote.
Le président Macron, remercie le président Tebboune, qui a mis sous les verrous Boualem Sansal, il faut peut être aussi lui faire un chèque pour les frais d'incarcération, ou allons nous ?
La France veut reprendre les relations
avec l'Algérie, la DGSE, et les autres services de l'état français, veulent
renouer les liens avec ce pays. Il y a le commerce, le gaz, et puis les
services de renseignements, tout cela sur le dos des français, qui eux continueront
à payer la facture des accords de 1968. Les affaires, la politique, le business passent avant les gens, seul compte le compteur financier qui
alimente les caisses de certains.
Un Pays comme l'Algérie, se sert de nos
faiblesses, nous les donneurs de leçons, qui nous plions pour quelques barils
ou contrats. Ce qui changera sur le fond, rien, tout restera comme avant, notre
diplomatie ne sera pas défendre les intérêts des français, elle continuera à
nous donner de leçons, vous le petit peuple, ce n'est pas votre affaire, c'est
un domaine réservé, circulez il n'y a rien à voir.
Le nouveau ministre de l'intérieur, se
rendra paraît-il en Algérie, j'ai écrit dans un billet récent, que certains politiques
avaient des liens par leur ADN familial avec ce pays, le ministre de
l'intérieur français, Mūnez, a également une sensibilité par des origines familiales avec le proche orient.
Le contribuable français sera toujours
pris pour le dindon de service, que l'on plume pour des accords franco-algérien,
qui octroient des avantages à des citoyens algériens. Les français eux passent
à la caisse pour régler la facture, qui résulte de l'incompétence de nos
politiques dans ce domaine.
Pendant ce temps on augmente nos impôts et autre taxes, en remboursant moins certaines prestations etc.. Au final nous payons la facture, pour des politiques qui ne sont pas à la hauteur des enjeux de notre société.
By un autre regard sur le monde.