Complément d'enquête, les journalistes sont -ils devenus des juges, des procureurs, et à la fin des bourreaux qui
assènent le dernier coup de grâce aux condamnés ?
Les
sujets ne manquent pas, ou des journalistes se comportent en justicier du PAF.
Comment
le service public, avec l'argent des contribuables peut-il se transformer en
gendarme du PAF, pour servir la soupe à l'ARCOM et à certains politiques au
pouvoir.
Une
chaine privée CNEWS est sous l'œil du service public et de l'ARCOM, peu importe
que l'on aime ou pas cette chaine, on ne censure pas, ni ne condamne une chaine
privée, si vous n'aimez pas, vous changez de chaine.
Est-il
normal que des chaines du service public, enquête sur des chaines privées dans
le but de les faire condamner le cas échéant par l’ARCOM.
Ce
qui est inadmissible en France, au nom de la pluralité de l'information, et de
surveiller des chaines privées dans le but de nuire. Que l'ARCOM, ne s'occupe
que des chaines publics, qui perçoivent de l'argent des contribuables. Que cet
organisme ne vienne pas censuré les chaines privées, qui ne coutent pas
d'argent à l'état ni aux contribuables, elles rapportent de l'argent dans les
caisses de l'état.
D'après
des sources journalistiques, le journal du dimanche, l'Elysées ne serait pas
indifférent à cette chasse aux sorcières concernant CNEWS. Macron aurait une
tentation à faire contrôler la parole des médias, il voudrait entendre la
vérité, est-ce sa vérité ? Cela nous rappelle le temps du contrôle des
chaines et de l'information, par les ministres des gouvernements sous de Gaulle
et après…Il reprocherait à l'ARCOM d'être trop timorée, je vous le donne dans
le mille, cela concerne CNEWS. Quand on n’aime pas une chaine et sa politique
réactionnelle, on change de chaine.
Se
transformer en gendarme du PAF, les gouvernements savent le faire, ils envoient
la garde rapprochée du pouvoir pour museler ces journalistes, qui raconteraient
que des conneries, des fakes news, tout ce que le pouvoir n’apprécie pas, ni
France Télévision. Les téléspectateurs sont libre, ils croient parfois à des
racontars, à des mensonges, à eux de faire le tris, et non à l'état d'imposer sa
vision du monde. Que des débats est lieux, le cas échéant pour dénoncer des
contre-vérités, sans que le politique s'en mêle, l’information et la démocratie
se sentiront plus libre de tous ces partis politiques.
Aujourd'hui
la France est gangrénée par ces organismes de contrôle, qui coutent aux
contribuables des millions d'euros. La Démocratie française est bancale, tout
est sous contrôle d'organismes en tout genre. L’Europe qui impose aux états des
règlements ou lois, qui passent au-dessus de nos propres lois.
Les
exemples ne manquent pas dans notre société, ou nos libertés sont menacées
chaque jour, et la parole muselée par des lois qui n'en finissent pas de voir
le jour au détriment de notre propre liberté d'expression.
Le
mot liberté au fronton de nos mairies, commence sérieusement à pâtir, de toutes
les pressions de la société, lois, règlements, les réseaux sociaux,
associations, comportement humain, décisions des politiques européennes...Ce
mot liberté se lézarde un peu plus chaque jour et nous en payons les
conséquences.
By un autre regard sur le monde