Tours, la deuxième ligne du Tram n’est pas sur rail, qu’elle déraille déjà.

 Après le feu vert des autorités, de l’état, le projet est déclaré d’utilité public, les premiers travaux sont prévus pour fin juin, début juillet 2025.

Rien ne se passe normalement à Tours, les oppositions au tram sont vent debout, cela ne plait pas aux grincheux, un collectif d’habitants qui s’opposent au passage du tram devant chez eux, cela concerne le boulevard Jean Royer.

Le plus surprenant dans les revendication de ces habitants, et des politiques, ils parlent de rentabilité, de voyages qui ne seraient pas suffisants, d’arbres, des arbres cela se plante, de nuisances… Ils sont devenus des spécialistes du tram, sans connaissance des études de marcher, certainement par conviction idéologique et politique.

 On peut y voir la main de certains politiques de Tours, qui sont dans l’opposition, ils s’opposent au tracé de cette deuxième ligne du Tram. Pour certains politiques anti Tram, il n’a pas sa place, les bus suffiraient d’après eux.

Souvenons-nous, de la première ligne de Tram à Tours, il a fallu attendre des années pour la voir sur rail, Tours à pris beaucoup de retard, comparativement, au Mans, Angers, Nantes…

Tous les projets à Tours sont d’une longueur indéfinissable, combien de temps pour le périphérique, à qui il manque une voie. La gare de Tours en cul de sac, saint pierre des corps qui n’aura pas de ligne de Tram.

Toutes les personnes qui s’opposent au tracé de la ligne du Tram, feront tout pour faire chier le monde, avec le retard que la ville à déjà, tous ces grincheux peuvent déménager…

Ils disent que cette deuxième ligne ne sera pas rentable, est demandent un déplacement du tracé, ou l’annulation de ce projet. Peut-on y voir un manque de vision pour les années futurs, l’investissement d’aujourd’hui, certes en millions d’Euros, est un investissement pour l’avenir. Ce projet met la ville sur rail pour affronter les années futurs, et donne aux nouvelles générations les outils pour répondre aux changement de la société. Ne commettons pas l’erreur du périphérique, de l’autoroute A 10... En voulant faire du minimalisme, la facture est toujours plus douloureuse après, quand il faut réparer les erreurs du passé.

Tours porte bien son nom de belle endormie, les politiques de la région, sont depuis des années, un cercle du copinage* politique. Qu’ils soient aux manettes ou dans l’opposition, ils ne sont pas de grand visionnaires, et surtout manque de force, de charisme, de volonté, de projets. je ne vois pas qui sort du lot aujourd'hui  homme ou femme politique, pour redresser la situation et faire de Tours une ville qui rayonne au-delà de ses frontières.

 Prenons, l’exemple de Philippe Brian, le maire de Saint Cyr sur Loire, lui il ne veut pas du Tram dans sa commune, c’est un homme du passé, l’avenir il le regarde dans un rétroviseur. Il s’adresse à un public d’un certain âge, il oublie les jeunes générations. Il se dit en off , qu'il ne voudrait pas voir  sa commune envahie par l'arrivé d'une population "tram" non désirable ! Sa ville surnommée le petit Neuilly. Il est aussi dans les affaires avec Citya. J’allais oublier il fut trésorier de la campagne de Sarkozy, et paraît-il, qu’il ne savait rien des comptes,(une affaire jugée) il gère une ville, connaît-il au moins les chiffres de sa commune.  Copinage*, je pourrai dire frangin, ils comprennent le langage.

Un Tracé de Tram cela n’est jamais facile, il peut ne pas plaire à tout le monde, parfois on peut le comprendre, si les nuisances sont trop fortes, certains compromis sont parfois possibles, la recherche d’un juste équilibre peut se faire, sans pour autant remettre en question le projet.

Aujourd’hui en France, on ne peut plus faire une autoroute, un TGV, les éoliennes n’en parlons pas, un tunnel, une usine… sans que cela ne dégénère dans des procédures, qui coutent au final de l’argent aux contribuables, et une  perte de temps considérable. Les gagnants ce sont les avocats, qui récoltes les fruits de tout ce grand bazar.

France ingérable, à l’image d’un pays qui se fracture de plus en plus, ou l’individualisme à force de loi, l’intérêt général ils s’en contrefoutent.

By un autre regard sur le monde