Les personnes originaires du continent africain déferlent
sur notre sol ; elles ne cessent de se répandre sur l'ensemble du territoire.
C'est une vague migratoire. Les personnes racisées gagnent
chaque jour du terrain sur l'espace des Blancs. Ensuite, on s'étonne de voir le
racisme s'étendre, sans se poser la question du pourquoi.
Une association comme SOS Racisme est une organisation
politique, fruit de la gauche des années 1981. Pour Mitterrand, il s’agissait
de donner bonne conscience aux gens de gauche. Elle exploite chaque situation à
son profit médiatique. Je reviens sur l’affaire d’un homme politique à Tours, condamné
pour avoir tenu des propos qui auraient été entendus lors d’une réunion à la
métropole. Ces propos étaient le résultat d’un échange un peu nerveux entre
deux personnes. Bref, une oreille indiscrète a fini par transformer cette
conversation privée en affaire de racisme, entraînant la condamnation de
l’accusé. Pour SOS Racisme, seul compte de faire condamner de supposés racistes, le fond, le contexte , les circonstances, cela ne compte pas, il faut abattre.
Les juges ne tiennent jamais compte du contexte. Comme ils
sont souvent de gauche, la sentence tombe. Surtout lorsqu’il s’agit de faire
tomber un politique : cela fait un beau tableau de chasse pour la justice. Nous
vivons dans une société de bien-pensants, de moralisateurs. Le vent tourne ;
demain, ils risquent de se retrouver dans la tempête. Il faudra remettre un peu
d’ordre dans ces associations qui asphyxient nos libertés par leur chasse
permanente contre des citoyens considérés comme racistes aux yeux du monde
judiciaire et associatif. Un mot suffit, peu importe le contexte : trop tard,
vous êtes le coupable idéal.
Les lois sont parfois faites pour être remises en question,
quand elles deviennent inadaptées à l’évolution de la société et au contexte
général d’un pays. L’argent des contribuables devient une arme qui se retourne
contre eux : procès des associations contre les citoyens. L’argent que les
collectivités, les ministères, l’État donnent aux associations sert aussi à les
attaquer en retour. C’est l’arroseur arrosé. Toutes les associations qui
attaquent une collectivité ou l’État, tout en ayant reçu de l’argent public, ne
devraient plus recevoir un centime ni bénéficier d’un agrément. Dans les
tiroirs il y aurait un projet pour supprimer tous les financements à ces associations ? Il faut désormais du courage politique et des circonstances
favorables, pour mettre en œuvre cette initiative qui va dans le bon sens.
Le raciste serait ce méchant Blanc ; le racisme anti-Blanc
serait une idée de l’esprit, une construction des gens de droite, des Blancs
dominateurs, du patriarcat… Les mêmes causes produisent les mêmes effets : «
L’antisémitisme = la Shoah ; le racisme = la colonisation par les Blancs
dominateurs. » Ces mots qui jugent sont le fruit d’une histoire qui colle à la
peau des pays et des peuples. Il faut des coupables pour rester la victime de
son histoire.
Les intellectuels de gauche disent : non, il n’y a pas de
racisme anti-Blanc. Évidemment, ils ne vont pas remettre en question leur
idéologie dominante.
La France a un problème avec certains territoires
ultramarins. Prenons l’exemple de Mayotte, repris à Madagascar par le capitaine
Passot sous le règne de Louis Philippe. Département français depuis 2011 (des
accords existaient déjà, issus de négociations antérieures), sous la présidence
de Sarkozy. Il n’aura pas marqué l’histoire, sauf celle judiciaire.
Combien coûte Mayotte aux contribuables ? Il serait
intéressant de connaître les chiffres, simplement les dépenses et les recettes.
Ce territoire d’origine africaine ne devrait pas se trouver sous pavillon
français. La France est toujours sous le règne de Louis XIV : le canal du
Mozambique est derrière cette décision, pour le contrôle de la zone maritime.
Il y aurait tant à dire sur ce sujet. Par exemple, pourquoi n’a-t-on pas
demandé à la France hexagonale de s’exprimer avant de faire de Mayotte le 101e
département ? Qui paie la facture aujourd’hui ? La créolisation est un sujet
qui plaît à Mélenchon. Les politiques et leur vision du monde sont parfois du
niveau d’un caniveau. Mayotte est une terre africaine que la France s’est
octroyée pour quelques pièces, dans la monnaie de Madagascar de l’époque. On
aurait, sous Louis Philippe, mis fin à l’esclavage, paraît-il.
Dans les départements ultramarins, le racisme anti-Blanc est
une réalité vécue. Ce n’est pas une vision de l’esprit. La plupart des
touristes de France hexagonale qui s’y rendent ont beaucoup à dire sur le sujet
: ils ne sont pas toujours les bienvenus. Comme par miracle, personne n’
By Un autre regard sur le monde
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