Certains
patrons comme Bernard Arnault, LVMH, critique Bruxelles et sa cohorte de
bureaucrates qui règlemente à tout va, et des décisions qui lui semble ne pas
correspondre à la réalité. Il dit que l'UE n'est pas dirigée par un pouvoir
politique, pouvoir qui serait au main de la bureaucratie.
Ce
grand patron a déjà investi aux Etats-Unis, il connait le marché américain. Sa
prise de position est compréhensible, c'est un créateur, qui soutient le made
In France. II n'a pas de leçon à recevoir d'un Michel Edouard Leclerc, qui lui,
va sur tous les plateaux de télévision, pour se faire le justicier de la cause
Leclerc. Il se sert du nom Leclerc pour faire sa pub dans tous les médias. La
pub Leclerc, devient de la propagande, trop de pub fini par tuer la
pub. Bernard Arnault, LVMH, lui est grand patron, il fait rayonner la
France à l’étranger, encourage l'artisanat de luxe et le savoir-faire Français,
en investissant dans la formation des métiers qui perpétuent notre savoir-faire,
reconnu dans le monde entier.
Michel Edouard Leclerc, qu’il s’engage en politique, aujourd’hui il n’a pas de contradicteur face à lui. Les médias lui cirent les pompes, il nourrit les médias par son budget pub. On bouffe de la pub Leclerc à toutes les sauces, elle en devient indigeste. Il doit son succès aux fournisseurs, qu’il fasse profil bas, la grande distribution n’a rien inventé, elle ne fait que copier. Le fonctionnement en coopérative des centre E Leclerc, leur permet de payer moins d'impôts, alors les leçons de patriotisme, qu'il les garde pour lui. Il est plus facile de vendre des petits pois, que des produits de luxe, qui demandent une main d'œuvre hautement qualifiée. Si on prend la liste des articles ou produits que Leclerc s'accapare pour son business, elle ne fait que s'agrandir, pour une simple raison , faire toujours plus de chiffre d'affaires et dominer le marché. il voudrait vendre des médicaments dans ses parapharmacies, si on arrête pas cette marche en avant destructrice de valeurs, demain il aura le monopole, comme il a déjà plus de 600 magasins, et les drives.
la grande distribution à toujours engendrer des fortunes pour des familles. Leclerc n'est pas sur le marché boursier ,comme Intermarché ,Auchan et le groupe Mulliez. Son système de coopérative lui permet d'être moins imposable devant l'impôts. La grande distribution c'est de l'argent , du cash, qui arrive chaque jour en caisse, le contraire des fournisseurs qui eux doivent attendre les délais de paiement pour recevoir leur dû. Si demain ils devaient régler tous les fournisseurs au cul du camion, il serait dans une autre situation financière, moins favorable avec des difficultés dans la gestion des hypermarchés.
Pour ceux qui connaissent l'histoire de la grande distribution en France, les débuts ont été des années d'or pour tous ces patrons, moins de contraintes, des délais de paiement à rallonge jusqu'à 180 jours, de la marchandise gratuite par palettes pour ouvrir un hypermarché, ou supermarché, des lois favorables à l'installation, des billets dans les valises pour financer des politiques ou pour obtenir des autorisations d'ouvertures. Pour les premiers hypermarchés, les fournisseurs participaient à la mise en place des produits, les premiers commandes faisaient l'objet de négociations, qui revenaient à obtenir plus de marchandise gratuite que celle réellement facturée aux fournisseurs pour l'ouverture d'un magasin. Cela faisait que la machine à cash était en marche, beaucoup de rentrer d’argent (CA)
La trésorerie était ainsi assurée pour lancer un système, qui n'a fait que grossir à aujourd'hui. On ajoute les remises sur les factures, la marchandise gratuite, les remises différées des centrales nationales et régionales, avec un petit reste en direct pour les magasins, les anniversaires, et autres occasions, cela constitue un racket permanent un système bien rodé, qui ne laisse que peu de marge aux fournisseurs. Beaucoup se sont cassé les dents en essayant de travailler pour ces hypermarchés. Fort heureusement certains produits et sociétés ne sont pas accessible à ces sociétés de la grande distribution qui broient tout sur leur passage. Le client est la machine à cash, plus il y a de clients et plus le CA est au RDV, jackpot au final. Attention toutefois à la baisse du CA, la marge brute étant parfois réduite, la rentabilité s'en trouve diminuer. Voilà pourquoi la bataille des prix pour maintenir à tout prix un chiffre d'affaires.
Cela donne un matraquage publicitaire de tous les instants, qui finit par devenir comme une drogue que l'on administre aux consommateurs. Michel Edouard Leclerc, a donné son nom de famille aux magasins Leclerc. Comme tout n'est qu'impermanence, il risque de connaitre un jour quelques mésaventures, qui mettront l'enseigne E Leclerc en difficulté et tous les magasins. A vouloir tout avaler on finit par s'étouffer soi même.
By un autre regard sur le monde
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