Il y avait préméditation, l'intervention du guignole Paul de Saint Sernin, avec le consentement de la chaine France 2, le piège s'est refermé sur les invités, il fallait que la chaine lave plus blanc, devienne moralisatrice, inquisitrice. Faire plaisir à tous les mouvements des féministes, à la pression woke de la direction de la chaine du service public. Nicolas Bedos a été jugé par la justice, comme cela ne suffit pas, aux yeux des moralisateurs "wokiste" du service public, il fallait montrer que la chaine était dans la ligne des féministes et de la culture woke. Cela devrait faire réfléchir les prochains invités, avant d'accepter l’invitation à venir à se faire ridiculiser sur un plateau de télévision, d'une chaine du service public, par une bande de woke.
Une émission cela se prépare, le choix des invités se fait sur des critères, qui sont souvent en adéquation avec l'actualité du moment. Il y a aussi la recherche de sujet qui feront le buzz, la une, de l'audimat, qui seront repris sur les réseaux sociaux.
Dans le cas de Nicolas Bedos, sont livre a été lu par l'équipe, comme ils doutaient un peu, fallait-il l'invité, alors l'idée pour rester dans l'idéologie woke du service public, et soutenir les féministes, et ainsi se dédouaner d'un quelconque soutien à cette personne, qui a été condamnée par la justice. Il fallait se donner une bonne conscience en trouvant un angle d'attaque, ce qui fut fait, en mettant Nicolas Bedos devant une proposition, lui ordonnant d'une façon accusatrice (pression médiatique) de verser les droits du livre aux féministes' (association) la stratégie a bien fonctionné, il a été pris au piège. La préméditation est bien avérée. Léa Salamé ne peut se défaire de son idéologie de gauche woke, pour cela, elle est bien entourée. L’objectivité de certains journalistes est une gageure
Pour Louis Sarkozy, faire référence à son père en parlant de lui, avec des propos insultants, du commérage de caniveau, je ne reprendrai pas ces propos dégueulasses ici, de la part de ces animateurs du service public. On remarquera dans les deux cas, qu'ils font référence d'une façon plus ou moins insidieuse aux condamnations qui touchent directement ou indirectement les invités. Si cela ce n'est pas une façon de faire une leçon de morale, d'être du côté des victimes, des bien-pensants, des puritains. Cette émission est devenue un tribunal, ils étaient les partis civils de l'inquisition.
Si j'avais un
conseil à donner, n'allait pas dans ce genre d'émission si vous ne voulez pas
vous faire dézinguer par des intervenants qui sont payés pour cela, plus c'est
gros, meilleur sera le résultat pour eux, et les retours leurs seront en termes
d'audimat, quand une émission marche bien, la pub suit... Tous ces animateurs,
journalistes, sont payés par nos impôts, sur le service public.
Sur les réseaux
sociaux les commentaires sont toujours d'un niveau caniveau, ils ne connaissent
que la critique, les insultes, sans connaitre un dossier. Ils cachent leurs
venins derrière des pseudos, ils se croient à l'abri de leur connerie.
By un autre regard
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